BABYSOLO33

vendredi 17 mars
21h30 22h30
Le Club

BABYSOLO33

vendredi 17 mars – Le Club
21h30 22h30

Babysolo33

BabySolo33 n’a qu’un seul but, nous immerger dans son spleen millénial éthéré

Comme elle l’écrit dans son journal intime, ses textes mélancoliques sont menés par une voix douce, presque toujours autotunée se posant sur des prods variées allant du cloud rap à la trap en passant même par des sonorités dancehall. L’artiste Bordelaise nous emmène dans un voyage émo vaporeux portant les valeurs de la next genà travers son univers unique et atypique

SadBaby Confessions se nourrit des films et séries préférés de BabySolo, regardés un dimanche soir lors d’une soirée pyjama : Bully, Elephant, Roméo + Juliette, Virgin Suicides ou encore Buffy contre les Vampires. Elle n’hésite pas à les utiliser pour créer son univers: en résulte un cocktail de références, nous rappelant les plus belles heures des Skyblogs.

Déceptions sociales et amoureuses, rapport à l’amitié et l’ambition, errance et ennui, l’artiste met sa vie en musique dans ce projet, entre storytelling personnels dans FakeBlood ou fictif avec Jenny tiré du film Jennyfer’s Body, ou encore les hymnes à la sororité avec Leçon2Princess et BFF<3.

En collaborant avec de nouveaux producteurs tels que Sun Jùn, Guamshawty ou encore King Doudou, elle apporte à son univers des nouvelles sonorités, tout en restant en accord avec sa vision artistique. Son corps musical est intimiste et n’ouvre la porte qu’à ses amis bordelais Floki, Le Chamal, 3G & Bricksy pour collaborer sur le projet

Ce nouveau projet est accompagné d’une bande annonce et des clips de Leçon2Princess et FakeBlood. Avec Été Meurtrier, L’Enfantôme et Anaïs Tohé Commaret derrière la réalisation, BabySolo a su s’entourer des meilleurs artistes pour déposer des images sur son univers, et ses inspirations comme les réalisateurs Gus Van Sant, Larry Clark ou encore Gregg Araki. Le résultat est une une direction visuelle magnée avec brio, permettant d’amplifier le caractère ultra référencé de la musique de l’artiste bordelaise

© Dabaaz – Eymeric Fouchère